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Infos N°14 - L'apport de NPK au printemps
Pour pouvoir être absorbé, le phosphore doit se trouver dans le voisinage immédiat des racines. Au printemps, les températures basses et la faiblesse du système racinaire limitent l’accès au phosphate du sol. Le phosphore appliqué en automne subit des processus de vieillissement et rétrogradation pendant l’hiver et il devient moins disponible au printemps. Un apport de phosphore au printemps permet une mise à disposition de phosphore frais et disponible pour les plantes en phase de redémarrage. Des essais ont montré que les apports de P au printemps pénétraient dans le sol jusqu’à 5 cm de profondeur.
Répartition du phosphore dans la solution du sol après une application starter d'un engrais NPK.
Les agriculteurs appliquent du P et du K selon l’une des stratégies suivantes :
La fumure d’automne est privilégiée en cas de redressement des sols pauvres mais la fertilisation de printemps est généralement plus efficace. En effet, tous les éléments sont disponibles simultanément, ce qui favorise les synergies. Une application NPK de printemps stimule le redémarrage de la végétation après l’arrêt hivernal et accélère l’implantation des cultures de printemps. Elle est particulièrement adaptée aux cultures au système racinaire peu développé au moment des apports telles que blé sur blé, pomme de terre, betterave et maïs.
Un apport de NPK au printemps augmente le rendement comparé à une fumure PK à l'automne et application d'azote au printemps. Résultats de 250 essais annuels au champ réalisés en Allemagne sur différentes cultures de 1991 à 2003.
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